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Suivez l'actualité de votre coach avec ce blog !
Jean-Michel Gurret partage avec vous ses journées, ses exercices, ses conseils minceur, et ses recettes préférées.
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posté le 26-decembre-2007 Je vous présente tous mes voeux de bonheur, de santé pour la nouvelle année. Et puissiez-vous réussir à atteindre tous les objectifs que vous souhaitez voir se réaliser. Florence |
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posté le 15-decembre-2007  Dans les deux semaines qui précèdent les règles vous êtes nombreuses à signaler des symptômes divers : irritabilité, besoin de grignoter, fatigue, gonflements, maux de tête... et à demander des conseils pour limiter ces effets. On peut parler de syndrome prémenstruel (SPM) si ces symptômes se renouvellent à chaque cycle. Il est conseillé de surveiller son alimentation et de gérer son stress pendant cette période en appliquant certaines règles : - Evitez les plats salés ou de trop saler vos plats car le sel favorise la rétention d'eau. - Evitez les excitants comme le café, le thé ou l'alcool qui peuvent accroître les réactions d'irritabilité. - Evitez d'avoir à votre portée des aliments sucrés faciles à grignoter car durant cette période l'attirance pour le sucre est fréquemment observée. Il est préférable de ne pas répondre à ces fringales en absorbant du sucre en excès car vous risquez de perturber votre métabolisme et créer des hypoglycémies réactionnelles. Privilégiez des repas contenant des fruits, des laitages, des féculents ou les légumineuses et surtout évitez le grignotage qui peut représenter à lui seul un véritable repas supplémentaire. - Privilégier les aliments riches en magnésium, en calcium et en vitamines B6 (voir glossaire). Des études ont prouvé que consommer 1200 mg de calcium par jour diminue les symptômes du SPM ce qu représente 4 produits laitiers et une consommation d'eau riche en calcium. Le magnésium diminue les sensations de gonflements en diminuant la rétention d'eau et possède un effet calmant sur le plan nerveux. A moins que votre médecin ne vous le conseille il n'est pas forcément utile de recourir à des suppléments car une alimentation saine et équilibrée vous fournit les quantités nécessaires et suffisantes. La vitamine B6 joue un rôle dans l'équilibre hormonal, sur les phénomènes de rétention, sur la fatigue et l'irritabilité et sur la tension mammaire. - Veillez à respecter un temps de sommeil suffisant - Veillez à vous relaxer au maximum, c'est le moment d'abuser de vos enregistrements MP3 sans modération ! - Privilégiez les aliments riches en oméga 3. Des études montrent que les femmes souffrant de SPM sévère consommaient peu d'oméga 3. Vous en trouverez dans l'huile de colza, dans certains poissons comme les sardines,les maquereaux, le thon, le saumon, la truite et dans les crustacés, dans les graines de lin et les noix et dans la mâche, les épinards et le chou vert. - Vous pouvez également limiter les effets du SPM en conservant une activité physique et en travaillant sur vos sources de stress. - Et si les symptômes persistaient malgré tout il serait judicieux d'en parler avec votre gynécologue qui sera peut-être amené à vous prescrire un traitement. A bientôt! Florence |
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posté le 4-decembre-2007  Bonjour à toutes et à tous, Régulièrement, les personnes qui viennent de s'inscrire et qui n'ont pas encore démarrer le programme, posent les questions suivantes: "Vais-je devoir faire des heures et des heures d'exercices?" ou "Si je fais un repas trop copieux, quel sport me permettra d'éliminer mes excès?" ou bien encore "Quel sport me conseillez-vous pour accélérer ma perte de poids?" Je voudrais préciser que la pratique d'une activité sportive doit se faire en fonction de vos goûts dans l'idée de vous maintenir en forme, d'en récolter du plaisir et de rester en bonne santé. Cela ne doit pas être un moyen d'éliminer des excés alimentaires. Je m'explique avec un exemple: lorsque le réservoir de votre voiture est plein, vous ne vous dites pas "je dois absolument rouler pour éliminer mon carburant" vous mettez de l'essence dans votre voiture car vous avez un trajet précis à faire. Pour notre organisme, c'est la même chose. Vous devez augmenter vos apports caloriques parce que vous avez une augmentation de vos dépenses énergétiques! J'en profite au passage pour vous amener quelques éclairages au sujet des envies d'aliments "interdits". Il vaut mieux ne pas résister à cette envie car vous allez créer une situation de manque et vous risquez de vous sentir frustrés. Si vous avez envie d'un aliment précis, il vaut mieux manger un carré de chocolat qu'avoir la sensation de résister au prix d'efforts importants à cette tentation. Ce n'est pas un carré de chocolat qui pénalisera votre objectif (la tablette oui) mais plutôt cette résistance qui peut vous inciter du coup à manger des aliments soit disant "autorisés" en plus grande quantité. Essayez de noter en détail vos apports alimentaires sur votre carnet, ainsi vous pourrez avoir une vision plus objective de la situation et cela nous aide à mieux vous guider et à vous répondre de manière adaptée à vos questions. N'hésitez pas à venir vers nous par le biais des questions peronnelles si vous en ressentez le besoin ou tout simplement pour nous donner de vos nouvelles. Au plaisir de vous lire! Florence |
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posté le 29-octobre-2007  J'ai de nombreuses consultations en face à face à mon cabinet de femmes qui ont pris du poids suite à un deuil, notamment, périnatal. Comme je remarque dans plusieurs blogs que c'est le cas, il me semble utile de faire un commentaire à ce sujet. La perte d'un enfant, quelque soit son âge est considérée comme la pire douleur qui soit. Ceci se vérifie également bien sûr, lors d'un accouchement thérapeutique, lorsque l'on constate une malformation du fœtus et que la décision est prise de mettre fin à sa vie. J'ai eu plusieurs mamans confrontées à ce problème vers leur sixième mois de grossesse, qui doivent se séparer de leur bébé. Souvent ce traumatisme est à l'origine d'une prise de poids importante, comme si il était alors nécessaire d'enfouir cette douleur sous une couche de graisse protectrice. Le travail consiste alors à affronter cette douleur, puis à accepter mentalement de réellement "couper le lien" qui rattache la maman à son bébé. Il s'ensuit généralement une véritable libération, qui s'accompagne souvent d'une perte rapide de poids. Je constate également le même processus sur des deuils anciens non faits, de parents ou de grands-parents. Récemment encore, j'ai reçu un message d'une telle libération grâce à l'écoute d'un MP3 du programme qui a provoqué chez une dame une crise de larmes suivant d'un sentiment de légèreté. Si vous êtes dans ce cas et que vous n'avez jamais osé aborder ce problème de front, sachez qu'il existe des techniques thérapeutiques douces, telle que l'hypnose, l'EMDR et la cohérence cardiaque entre autres, qui peuvent, avec l'aide d'un praticien compétent, vous permettre de vous libérer de votre fardeau. A bientôt, Jean-Michel |
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posté le 24-octobre-2007  J'ai pu constaté lors de mes consultations que bien souvent des plaies non cicatrisées étaient à l'origine d'émotions non négatives. Je voudrais vous faire partager mon expérience et aborder de temps en temps une émotion négative qui pourrait vous nuire et entamer votre objectif minceur.Aujourd'hui je voudrais évoquer avec vous le thème de la peur. Qu'elle se traduise par un léger accès de souci, d'appréhension ou angoisse, le message que vous envoie cette peur c'est qu' il faut se préparer à affronter quelque chose qui ne s'est pas encore produit. Réfléchissez aux causes de cette peur et voyez ce que vous devez faire pour vous préparez mentalement. Déterminez les mesures que vous devez prendre pour faire face à cette situation de la meilleure façon possible. Une de mes patientes avait une peur immense de manquer. Elle était femme au foyer et prenez beaucoup de plaisir à s'occuper de ses 3 enfants. Mais sa peur demeurait car dans son histoire elle avait manquer de tout: d'affection, de nourriture, d'attention... Un jour, elle se prit à angoisser à l'idée que son mari pourrait la quitter et qu'elle se retrouverait avec ses 3 enfants, sans diplôme et sans ressources. Elle décida alors de reprendre ses études là où elle les avait laissées. Plus de week end, plus de vacances, plus de sorties entre amis, plus de rien... Son mari se retrouvait alors à gérer les enfants, les repas, les sorties entre amis, seul, toujours seul et ce pendant 4 ans. Au bout du compte il finit par la quitter parce qu'il avait l'impression de jouer son rôle,il nourrissait sa famille, contribuait au bien-être de tous mais il n'avait plus d'épouse! A ce jour, elle manque cruellement de tout! Sa peur de manquer a débouché sur un manque réel. Si je voulais évoquer cette notion de peur avec vous c'est juste dans le but de vous inciter à rester vigilants(es) lorsqu'une peur vous tenaille et de vous inciter à vous poser les bonnes questions. J'attends vos commentaires ou vos expériences.... A bientôt pour une autre émotion à éliminer sans modération! Florence |
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