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Jean-Michel Gurret partage avec vous ses journées, ses exercices, ses conseils minceur, et ses recettes préférées.
posté le 3-juin-2015 Vous voulez vous mettre ou vous remettre au sport ? Les activités sportives ne manquent pas mais vous craignez parfois de ne pas avoir une condition physique suffisante, de souffrir pendant l'effort, de manquer de souffle, de motivation... Pourquoi ne pas tester la marche sportive ? |
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posté le 1-juin-2015 Poissons gras ou huiles de noix et de soja sont les principales sources d’oméga 3. Nous avons tous entendu parler de ces acides gras polyinsaturés (AGPI). Mais en quoi sont-ils bons ? Comment agissent-ils sur notre cerveau ? Sophie Layé, directrice de l’unité Nutrition et Neurobiologie Intégrée de l’INRA (Université de Bordeaux) et Richard Bazinet, professeur à l’Université de Toronto font le point sur l’état des connaissances tant sur le plan scientifique que médicale. Que nous apprennent les deux chercheurs dans leur article publié dans Nature Reviews Neuroscience du 12 novembre 2014 ? Ils se font avant tout l’écho d’un travail réalisé au sein même de l’équipe de Sophie Layé. Pour la première fois, ils ont montré (chez l’animal certes) qu’une carence en oméga 3 pendant le développement embryonnaire et la période de lactation altère le système immunitaire cérébral et la plasticité du cerveau. Des oméga 3 pour booster notre mémoire En 2012, ces mêmes chercheurs de l’INRA ont montré chez des souris âgées qu’un régime enrichi en acide docosahéxaénoïque (un acide gras oméga 3 qui nous vient du monde animal) réduit la neuro-inflammation et la survenue de troubles cognitifs (comme la perte de mémoire). Selon les scientifiques de Bordeaux, toujours eux, de nombreuses données chez l’homme associent une diminution des taux sanguins et cérébraux des AGPI oméga 3 à la dépression, la schizophrénie ou la maladie d’Alzheimer. Enfin, la restriction alimentaire en oméga 3 perturbe finement, mais définitivement, la composition et la structure des membranes biologiques, des neurones et des autres cellules cérébrales. Elle altère leur fluidité et les activités enzymatiques (de reconnaissances, de transport, etc). Elle rend le cerveau plus sensible aux neurotoxiques. Elle altère le fonctionnement de la rétine, de l’oreille interne… Rappelons que dans l’idéal, nous devrions absorber au minimum 2g d’oméga 3 par jour. Les stars en la matière se trouvent au rayon « poissons ». Mention spéciale pour le maquereau (4,9g pour 100g), le hareng (4,17g pour 100g), la sardine fraîche (3,9g pour 100g), le saumon d’Atlantique (2,7g pour 100g), la truite fumée (2,5g pour 100g) ou encore le saumon fumé (2,3g pour 100g)… Par ailleurs, vous trouverez 50% des apports nutritionnels recommandés dans une cuillère (15 ml) d’huile de colza, dans 5 à 10 noix ou encore dans trois œufs. Lu sur destinationsante.com |
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posté le 28-mai-2015 BON Á SAVOIR - Les polyphénols nichés dans le célèbre tubercule permettent de limiter la prise de poids, selon une étude canadienne. Pas des frites mais... Manger des pommes de terre serait bon pour la ligne. Les nutritionnistes ne vous conseilleront jamais de manger des frites. En revanche, l'extrait de pomme de terre pourrait limiter la prise de poids, affirme une étude canadienne publiée dans le magazine Molecular Nutrition & Food Research. Sa concentration en polyphénols permettrait de réduire l'apport calorique d'un régime riche en gras et en sucre. Pendant dix semaines, les chercheurs de l'Université de McGill ont nourri des souris avec un régime très riche en gras et en sucre pour les rendre obèses. De 25 grammes en moyenne, les rongeurs ont rapidement pesé 16 grammes de plus. Mais les souris qui ont consommé, en plus de leur régime, un extrait de pomme de terre ont deux fois moins grossi. Concentration en polyphénols. "Les bienfaits de cet extrait de pomme de terre viennent de sa concentration en polyphénols, des antioxydants aussi présents dans les fruits rouges, le vin rouge et le thé vert. Ils pourraient devenir une solution pour prévenir l'obésité, mais aussi le diabète de type 2", a expliqué le professeur Luis Agellon, l'un des auteurs de l'étude. Les scientifiques prévoient maintenant de tester l'extrait de pomme de terre sur les humains et trouver ainsi le dosage adapté à notre métabolisme. En effet, la dose quotidienne utilisée pour les souris est extraite de 30 pommes de terre. "Nous ne conseillons certainement pas de manger 30 pommes de terre par jour", prévient Stan Kubow, auteur principal de l'étude. Sinon, "k'apport en calories serait énorme". "La patate a l'avantage d'être peu chère à produire et de faire déjà partie de l'alimentation de base de nombreux pays", ajoute Stan Kubow. "Nous espérons breveter un extrait de pomme de terre et nous cherchons actuellement des partenaires, sans doute de l'industrie alimentaire, pour contribuer au financement d'essais cliniques", conclut le chercheur. Lu sur europe1.fr |
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posté le 19-mai-2015 A l’instar de Bridget Jones qui s’empiffre de junk food devant un film d’amour pour panser ses peines de cœur, les femmes auraient tendance à se précipiter sur la malbouffe pour retrouver le moral. Pas de chance mesdames, d'après une étude récente, les aliments "doudou" ne seraient qu'un leurre ! Visionnage d’un film déprimant et malbouffe Une étude menée par l’université du Minnesota s’est penchée sur les effets de la "comfort food" (nourriture qui réconforte) sur notre moral. Les chercheurs ont demandé à 100 personnes de répondre à un questionnaire pour indiquer leurs aliments préférés en cas de coup de blues. Ils ont ensuite été divisés en deux groupes et ont visionné 18 minutes déprimantes d’un film (Le Choix de Sophie, Démineurs, ou Armageddon). Un moral qui s’améliore avec ou sans nourriture "réconfortante" L’évolution de leur moral a ensuite été mesurée grâce à un nouveau questionnaire. Alors que la majorité des participants se sentaient un peu déprimés juste après le visionnage (certains ont même abandonné l’étude), leur moral s’est amélioré quelques minutes plus tard, avec ou sans nourriture. "Arrêtons de dire que nous mangeons de la junk food pour nous sentir mieux, c’est faux ! Les gens cherchent toujours une excuse pour manger des aliments riches en graisses ou en sucres", a conclu le Dr Traci Mann, directeur de l’étude. En revanche, une précédente étude avait montré que les aliments riches en graisses, en sucre ou en sel activaient le système de "récompense" du cerveau. Une réaction qui, selon Nicole M. Avena, neuroscientifique, n’aurait aucune influence sur les changements d’humeur. Cette étude, menée par l’université du Minnesota a été financée par la Nasa. La psychologue directrice de l’étude, Traci Mann, cherchait à trouver une solution à la perte de poids importante des astronautes pendant leurs voyages dans l’espace (à cause du stress et du peu de nourriture grasse). Elle voulait savoir si les aliments "réconfortants" étaient à prévoir pour les longs séjours dans l’espace. Lu sur doctissimo.fr |
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posté le 12-mai-2015 D'après une étude américaine, les légumes verts feuillus comme les épinards ou le chou frisé peuvent ralentir le déclin cognitif de façon...impressionnante. On savait déjà que les épinards, c'est très bon pour la santé. Non pas parce qu'ils rendent super musclé comme Popeye (eh non, c'est un mythe) mais 1/ parce qu'ils sont riches en fibres (donc ça aide à la digestion), 2/ parce qu'ils sont riches en vitamines B9 (idéal pendant la grossesse) et 3/ parce que les nitrates qu'ils contiennent améliorent l'afflux sanguin cérébral et aident donc à maintenir notre cerveau en meilleure forme. Mieux : consommés quotidiennement, ils font gagner à notre cerveau onze ans de jeunesse, affirment des scientifiques américains. Même bilan pour les autres légumes verts feuillus, comme le chou frisé. Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs de la Rush University de Chicago (Etats-Unis) ont analysé l'alimentation et les capacités mentales de 950 personnes âgées de 81 ans en moyenne. D'autres observations ont été faites après un an, deux ans puis dix ans. Conclusion ? Les fonctions cognitives des volontaires qui se nourrissaient le plus de légumes verts feuillus, soit une ou deux fois par jour, ont décliné moins vite que ceux qui n'en consommaient pas. Une différence impressionnante puisque le cerveau des mangeurs d'épinards apparait comme étant 11 ans plus jeune que le cerveau des "pas fans". "Ces bienfaits peuvent s'expliquer par leurs taux élevés en vitamines et nutriments", a expliqué la Dr Martha Clare Morris lors de la Conférence de biologie de Boston. L'astuce ? Ajouter à votre plat d'épinards et de choux de la vitamine C, avec un filet de jus de citron ou quelques morceaux de mandarines, par exemple, afin d'aider le corps à mieux absorber les bienfaits de ces précieux légumes. Hum, ça donne faim ! Lu sur bibamagazine.fr |
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