posté le 21-octobre-2015
Le quinoa : qu'est-ce et comment le cuisiner ?
Le quinoa, qui vient de l'Amérique du Sud, a l’aspect d’une céréale mais fait partie de la même famille que la betterave ou l’épinard (celle des chénopodiacées). Son goût est proche de celui de la noisette.
En 2013, L'ONU a désigné comme l'Année internationale du quinoa afin de souligner son potentiel pour la lutte contre la faim dans le monde.
Ayant une forte teneur en protéines et une gamme complète d’acides aminés, il constitue un substitut intéressant de la viande pour les végétariens.
Il est également riche en fibres et contient environ 5% de gras oméga-3. Il contient aussi du manganèse, du cuivre, du magnésium, du phosphore, des vitamines et du fer. N'étant pas une céréale, il ne contient pas de gluten. L'essentiel de la production de quinoa répond aux critères de l'agriculture biologique.
Le quinoa est commercialisé sous forme de grains (blancs, dorés, noirs et rouges), de farine ou de flocons (comme l'avoine).
Il s'apprête de plusieurs façons. Il se cuisine comme le riz ou encore peut remplacer la farine tout usage dans des recettes.
Cuisiner les grains de quinoa
Les grains de quinoa doivent être rincés avant de les cuisiner afin d'enlever les résidus de saponine (substance végétale produite par les plantes) qui pourraient lui donner un goût amer et nuire à l'absorption des nutriments par l'organisme.
Dans une casserole, versez le quinoa et presque deux fois son volume d’eau.
Portez à ébullition, baissez et laissez cuire à couvert et sur feu doux jusqu’à ce que l’eau soit absorbée, soit 10 à 15 minutes.
Fermez le feu et laissez gonfler sans couvert encore 10 minutes.
Cuisiner avec la farine de quinoa
On peut remplacer la moitié de la farine tout usage par de la farine de quinoa dans les pains, gâteau et muffins et la remplacer complètement dans les crêpes et biscuits.
psychomedia.qc.ca
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posté le 19-octobre-2015
"Mal de gorge : délicieuse recette de boisson chaude aux citron, miel et épices
La boisson chaude aux citron et miel, parfois avec du gingembre ou du clou de girofle, fait partie des remèdes traditionnels contre le mal de gorge et les symptômes du rhume. Le miel et le citron ont notamment des propriétés antiseptiques.
Ingrédients pour 2 portions :
4 tranches de citron Meyer (le citron Meyer est un citron plus doux et plus sucré)
1 cuillère à soupe de gingembre haché
2 clous de girofle
1/8 cuillère à café de curcuma (qui contribue à une belle couleur et apporte des bénéfices anti-inflammatoires et antioxydants reconnus)
2 1/2 tasses d'eau bouillante
De 2 à 3 cuillères à café de miel
Une pincée de poivre de Cayenne (qui ajoute un "petit punch")
Préparation :
Placer les tranches de citron, le gingembre, les clous de girofle et le curcuma dans une grande tasse à mesurer ou une théière et verser l'eau bouillante.
Incorporer le miel, couvrir et laisser infuser pendant 30 minutes.
Filtrer et réchauffer si vous le souhaitez, mais ne pas faire bouillir.
Juste avant de servir ajouter la petite pincée de poivre de Cayenne.
La boisson peut être gardée dans le réfrigérateur pendant une journée. Réchauffer sans faire bouillir.
La recette demeure délicieuse sans tous les ingrédients.
Cette recette est inclue dans le livre de Martha Rose Shulman The Very Best of Recipes for Health. Cette dernière s’inspire principalement des cuisines mexicaines et méditerranéennes."
psychomedia.qc.ca
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posté le 16-octobre-2015
Pour Vous Mesdames ! "Comment vos vêtements mode peuvent nuire à votre corps
Lorsqu'il est question de demeurer à la fine pointe des tendances de la mode, nous semblons toutes prêtes à accepter le vieil adage qu'il faut souffrir pour être belle. Des talons aiguilles qui sont une véritable torture? Indispensable! Une paire de jeans qui nécessite un lubrifiant industriel pour les enfiler? Aucun souci!
Mais attention! Votre garde-robe pourrait avoir de nombreux effets néfastes sur votre corps!
Boucles d'oreilles pesantes
Outre les risques d'infection, ces boucles d'oreilles peuvent étirer vos lobes, à la longue. Il ne faut pas non plus négliger les risques de déchirement si celles-ci s'accrochent quelque part accidentellement.
Sac à main lourd avec courroies minces
Ce magnifique sac tout à fait à la mode, mais tellement gros réussit à nuire à votre posture et à votre démarche à cause de son poids qui vous oblige à être déséquilibrée à partir des épaules. À court terme, cela peut entraîner des raideurs, des maux de tête et des maux de cou et de dos.
Soutien-gorge trop serré ou mal ajusté
Un soutien-gorge trop serré vous empêche de développer les muscles nécessaires à un soutien naturel de vos seins, ce qui peut entraîner leur affaissement prématuré.
Ceintures trop serrées
Lorsqu'on les attache trop serré, les ceintures peuvent provoquer de la douleur et des picotements, et possiblement un engourdissement des jambes par la compression du nerf cutané latéral de la cuisse, qui part de votre abdomen et descend le long de la face extérieure de votre cuisse.
Porte-monnaie dans une poche arrière
S'asseoir sur un porte-monnaie crée une dépression dans le muscle derrière celui-ci, ce qui entraîne une posture asymétrique, et par conséquent de l'inconfort et de la douleur.
Le string
Les matériaux et tissus qui ne respirent pas, comme la dentelle, peuvent emprisonner l'humidité et favoriser les infections. La mince courroie favorise également la propagation de bactéries provenant des matières fécales.
Pantalons et jupes très ajustés
Les vêtements trop ajustés causent un déséquilibre et restreignent vos mouvements, ce qui entraîne une mauvaise posture et un mauvais alignement de votre colonne vertébrale. Il peut également y avoir une compression des nerfs qui entraîne de la douleur ou de l'engourdissement, en plus de favoriser les infections à levure.
Talons hauts
Les talons forcent le transfert de votre poids sur la plante de votre pied, créant un point de pression et un déséquilibre. Vos genoux et vos hanches sont forcés vers l'avant, cela augmente le risque d'une hyperextension, d'une entorse à la cheville, de fractures dans les os du pied, de névromes, de nerfs coincés, d'oignons et d'orteils en marteau."
huffingtonpost.fr
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posté le 14-octobre-2015
Qu'est-ce qui rend un plat savoureux ?
Il n’existe malheureusement aucune réponse à cette question. On sait cependant que les grands chefs apprennent à concevoir des recettes extraordinaires en réfléchissant en termes de paires et de triplets d’aliments dont les arômes s’agencent bien.
En effet, en plus des cinq saveurs fondamentales –le sucré, le salé, l’amer, l’acide et l’umami– il existe des milliers de composés organiques perçus par le sens du goût, mais aussi, et surtout par l’odorat.
Un aliment peut contenir de 10 à 100 de ces substances volatiles. Les analyses statistiques de banques de données de recettes de cuisine ont effectivement montré que les aliments possédant plusieurs substances volatiles communes se retrouvent souvent ensemble dans les plats. Par exemple, les fromages parmesan et mozzarella, le vin blanc et les tomates, qui sont à la base de la cuisine italienne, possèdent un grand nombre d’arômes communs. Ces observations s’appliquent uniquement sur les recettes modernes de cuisine occidentale.
Ce pairage serait-il accidentel? Afin de tester plus à fond cette hypothèse, des chercheurs ont étudié la plus grande perturbation culinaire de l’Histoire: l’échange colombien. En effet, la découverte de l’Amérique a introduit dans le menu des Européens la pomme de terre, de tomate, le maïs, les piments, les poivrons, les haricots, la courge, l’avocat, l’arachide, la sauge, la vanille et le cacao.
À partir de 24 livres de cuisine médiévale, en provenance de l’Angleterre, de la France et l’Allemagne et de l’Italie, il a été possible de faire le même genre d’analyse que celle qui a été produite pour la cuisine moderne. Au total, plus de 4000 recettes furent étudiées. De cette analyse, il est apparu que les cuisiniers médiévaux combinaient les saveurs de façon à rendre les aliments plus savoureux, et ce, malgré qu’ils aient moins de choix que leurs homologues modernes.
Cette idée de pairage, des élucubrations de scientifiques ? Pas pour François Chartier, célèbre sommelier, qui y voit une confirmation de sa propre expérience: «La combinaison des arômes, c’est ce qui fait la différence entre un mets qui est simplement bon et un mets qui est savoureux». C’est d’ailleurs en se basant sur ces principes qu’il a créé sa nouvelle gamme de vin.
sciencepresse.qc.ca
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posté le 12-octobre-2015
Poissons d’élevage : comment sont-ils nourris ?
Le poisson est recommandé par les médecins et nutritionnistes, qui le présentent comme un aliment sain et naturel. Est-ce vrai pour les poissons d’élevage nourris au farines animales?
Aujourd’hui l’alimentation des poissons d’élevage fait l’objet d’une réglementation stricte. Les poissons omnivores à dominante carnivores sont nourris principalement avec des farines et des huiles de poissons. Plus précisément, l’alimentation des poissons d’élevage est composée à 20 à 25% de farine de poisson et 10 à 15% d’huile de poisson, tous issus de la pêche minotière (dont les principaux sites se trouvent en Amérique latine, au Pérou et au Chili surtout). Le reste de l’alimentation est constituée de produits végétaux, de vitamines et minéraux, rappelle le Comité Interprofessionnel des Produits d’Aquaculture sur son site.
Farines animales : pourquoi en donner aux poissons d’élevage ?
Pour l’Union européenne, cela permettra de préserver les ressources. Remplacer une partie des farines de poissons par des farines animales devrait en effet de limiter la pêche intensive des poissons sauvages utilisés pour la fabrication des farines de poisson. En effet, pour produire 1 kg de truite d’élevage, 2.4 kg de poissons sauvages issus de la pêche minotière sont nécessaires.
Poissons nourris aux farines animales, une bonne mesure ?
Du côté des pisciculteurs, on applaudit la décision européenne qualifiée de "mesure pleine de bon sens". "C’est une excellente nouvelle pour les ressources maritimes, se réjouit Yann Bellet, gérant d’une entreprise de pisciculture spécialisée dans l'élevage de salmonidés à Touvre en Charente (16). Au lieu d’acheter des poissons fourrage venant du Chili, on a va pouvoir profiter de belles protéines animales qui n’étaient jusqu’ici pas utilisées". Outre le côté écologique et rentable de la mesure (les protéines animales coûteront forcément moins cher que les farines de poisson), le professionnel estime que la qualité nutritionnelle de ses truites et saumons en sera meilleure grâce à une plus grande diversification alimentaire. "A l’état naturel un poisson sauvage mange de tout. En remplaçant une partie des farines de poisson par des farines animales on améliorera la qualité des poissons".
Des poissons "moins gras", plus proches en goût des poissons sauvages ? Le pisciculteur en est convaincu. Quant au consommateur, il devra attendre quelques mois pour sentir ou non la différence dans son assiette.
topsante.com
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