posté le 9-octobre-2015
L'alcool surexpose au cancer de la peau
Evitez l'exposition aux UV après avoir bu de l'alcool. Celui-ci rendrait votre peau plus vulnérable face au risque de cancer de la peau.
La prochaine fois que vous vous allongerez au soleil et qu'on vous propose un verre, peut-être éviterez-vous à boire de l'alcool. Celui-ci serait également un facteur de risque de cancer de la peau, d'après une étude parue dans la revue spécialisée British Journal of Dermatology.
En fait c'est l'association de l'alcool et de l'exposition au soleil qui serait particulièrement nocive pour la peau quand elle n'est pas protégée par un filtre UV ou recouverte de vêtements. Les chercheurs de l'université de Milan avancent un chiffre qui devrait vous faire réfléchir la prochaine fois que vous prendrez l'apéro légèrement vêtu : une boisson alcoolisée par jour suffit à augmenter le risque de cancer de la peau de 20 %.
Le danger serait proportionnel à la consommation d'alcool. Les consommateurs qui ingurgitent chaque jour l'équivalent de 50 g d'éthanol (la substance active des boissons alcoolisées) seraient 55 % plus exposés au mélanome (la forme la plus agressive du cancer de la peau) que les buveurs occasionnels.
"L'alcool renforce les dommages cellulaires liés au soleil et peut favoriser le cancer de la peau", affirme le Dr Eva Negri, un des chercheurs impliqués dans l'étude.
L'explication viendrait de l'éthanol qui se transforme en acéltadéhyde après ingestion. Ce composé augmenterait la sensibilité de la peau aux UV, selon les chercheurs. "Nous savons qu'en présence des rayons UV, la consommation d'alcool modifie l'immunocompétence du corps, c'est-à-dire sa capacité à produire une réponse immunitaire normale", explique-t-elle à la BBC.
Le Dr Eva Negri espère que ses résultats feront avancer la sensibilisation aux méfaits de l'alcool sur la santé et sur la peau : "Nous espérons que les personnes utiliseront cette étude pour mieux se protéger du soleil".
topsante.com
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posté le 7-octobre-2015
Négliger le petit déjeuner à l'adolescence se paie à l'âge adulte
Les adolescents ne déjeunant pas le matin s'exposent à un risque plus élevé de syndrome métabolique des décennies après. A terme, c'est une menace de diabète ou de maladies cardiovasculaires qui plane.
Récemment, une étude britannique indiquait qu'une qu'une majorité de jeunes filles âgées de 13 ans étaient perturbées par leur poids. Si bien que 2 adolescentes sur 3, à cette âge, ont peur de grossir. Cette crainte "d'être trop gros" entraîne parfois les adolescents à sauter des repas. Avec souvent en premier lieu, le petit déjeuner. Une attitude risquée car sauter le petit déjeuner fait mal au métabolisme !
27 ans plus tard...
Le syndrome métabolique est caractérisé par la conjonction de divers troubles d'origine glucidique, lipidique ou vasculaire, associés à une surcharge pondérale, qui vont provoquer un diabète de type 2 et prédisposer aux maladies cardiovasculaires. Dans des travaux récents publiés dans la revue spécialisée Public Health Nutrition, des chercheurs de l’Université d’Uméa (Nord de la Suède) ont recruté en 1981, un groupe de 889 étudiants suédois de 16 ans qui ont dû remplir de manière très précise un questionnaire sur leur alimentation, et en particulier ce qui composait leur petit-déjeuner.
27 années plus tard, ces participants ont passé un bilan de santé. Et les chercheurs ont alors fait une constatation étonnante. Les participants, qui adolescents ne prenaient pas un petit déjeuner copieux et équilibré, ont présenté à l'âge adulte la plus forte incidence de syndrome métabolique. Une incidence accrue de 68 %, comparé à ceux qui prenaient un petit déjeuner régulier et équilibré, dans leur jeunesse.
Un effet négatif notamment sur la régulation de la glycémie
Cette association entre syndrome métabolique et absence de petit déjeuner, apparaît plus marquée encore pour 2 symptômes particuliers du syndrome métabolique, l’obésité abdominale et les niveaux élevés du taux de glycémie à jeun.
Maria Wennberg, principale auteur de l'étude reconnaît que « d'autres études sont nécessaires pour que nous soyons en mesure de comprendre les mécanismes impliqués dans la liaison entre un petit déjeuner de mauvaise qualité et le syndrome métabolique, mais nos résultats et ceux de plusieurs autres études suggèrent que ne pas bien manger au petit-déjeuner peut avoir un effet négatif sur la régulation de la glycémie ».
Pour rappel, une autre étude récente menée par des chercheurs de l'Université du Colorado School of Medicine (Aurora) a déjà montré les bienfaits du petit déjeuner. Sauter ce repas pourrait, selon ces chercheurs, être particulièrement préjudiciable aux femmes en surpoids, qui avec cette attitude risquent de devenir résistantes à l'insuline. Cet état, une fois qu'il devient chronique, est bien évidemment un facteur de risque supplémentaire de diabète.
pourquoidocteur.fr
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posté le 5-octobre-2015
Solutions 100% naturelles pour retrouver le sommeil
Difficultés à trouver le sommeil, réveils multiples durant la nuit ? Les plantes représentent des solutions naturelles pour retrouver le sommeil. Certaines favorisent l'endormissement, d'autres limitent les éveils intempestifs au beau milieu de la nuit.
Les plantes qui améliorent l'endormissement
Les plantes qui diminuent les réveils nocturnes
--- Les plantes qui améliorent l'endormissement: ---
Ces plantes possèdent un effet relaxant, antistress et anxiolytique. C'est ainsi qu'elles aident à améliorer les troubles de l'endormissement.
* Le tilleul:
Les fleurs de tilleul détendent, calment et favorisent l'arrivée du sommeil.
Cette plante convient aussi aux enfants et aux adolescents qui ont du mal à trouver le sommeil.
Le tilleul est également utilisé pour soulager les courbatures et les douleurs liées à un refroidissement.
* La camomille:
Elle aide à l'endormissement, mais possède également des propriétés digestives. La camomille enfin, soulage les maux de tête. Douce comme le tilleul, elle convient aussi aux enfants.
* La valériane:
La valériane est connue pour agir contre la nervosité, le stress et les tensions. C'est grâce à de telles propriétés qu'elle améliore le sommeil.
* La mélisse:
En plus de soulager les troubles du sommeil, la mélisse calme l'anxiété, l'agitation, les coliques et spasmes intestinaux. A savoir : cette plante diminue également l'intensité et la récurrence des symptômes de l'herpès labiale.
* L'aubépine:
Recommandée contre le stress et les angoisses, cette plante a une action sédative favorable au sommeil. L'aubépine a également des effets antispasmodiques et calmants, lesquels contribuent à diminuer les troubles du rythme cardiaque.
--- Les plantes qui diminuent les réveils nocturnes: ---
Les plantes qui aident à maintenir le sommeil et à éviter les réveils exercent un effet tonique et antidépresseur.
* La fleur d'oranger:
Les feuilles, les fleurs et l'huile essentielle de fleur d'oranger, sont toutes sédatives et contribuent ainsi à maintenir un bon état de sommeil.
* La passiflore:
Traditionnellement utilisée contre l'insomnie et la dépression, la passiflore procure un sommeil réparateur et facilite en même temps l'endormissement.
* Le houblon:
Tonique et diurétique, le houblon agit contre l'insomnie et la nervosité accompagnée de troubles du sommeil. Cette plante empêche les réveils nocturnes et agit aussi contre les troubles de la digestion d'origine nerveuse.
Merci à Les futurs médecins
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posté le 2-octobre-2015
RECETTE : Sauce légère au citron
Ingrédients pour 2 personnes
1 jaune d’œuf
1 c. à soupe de jus de citron
1 c. à soupe d’eau
50gr de fromage blanc à 0% de matière grasse
sel, poivre
Herbes aromatiques
Préparation
1. Mettre dans un récipient allant au bain-marie le jaune d’œuf, le citron et l’eau. Faire épaissir au bain-marie en tournant sans arrêt.
2. Quand le jaune a doublé de volume, retirer du feu et ajouter le fromage blanc.
3. Assaisonner et ajouter les herbes aromatiques au moment de servir.
Nos suggestions
Une sauce à servir sur des poissons pochés.
Source : Thierry Giannini chef de cuisine diététique à Brides-les-Bains et Nathalie Négro, diététicienne responsable du Centre Nutritionnel des Thermes de Brides-les-Bains
medisite.fr
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posté le 30-septembre-2015
L'alimentation bio est-elle meilleure pour la santé ?
Une enquête va être lancée pour répondre à cette question et pour cerner le profil des amateurs de ce type de produits obtenus sans traitement chimique.
Elle fait de plus en plus d'adeptes, mais quels sont ses bénéfices et ses limites ? L'étude BioNutriNet a pour objectif de faire le point sur la consommation des aliments issus de l'agriculture biologique et sur leur impact nutritionnel, économique, environnemental et toxicologique. Elle s'intègre à l'étude NutriNet Santé, qui analyse depuis mai 2009 les relations nutrition-santé et devrait concerner au moins 100 000 internautes (dont 50 000 consommateurs de produits bio). L'équipe de recherche en épidémiologie nutritionnelle (Inserm/Inra/Cnam/université Paris-13), dirigée par le professeur Serge Hercberg, lance donc un appel aux consommateurs de produits bio (réguliers ou occasionnels).
Questionnaires spécifiques
Ce volet spécifique constituera, selon ses promoteurs, la plus grande étude jamais réalisée sur la consommation d'aliments issus de l'agriculture biologique. À terme, ce travail permettra de comparer les profils sociodémographiques, psychologiques et économiques et les motivations des différents consommateurs. Il servira aussi à estimer l'apport en contaminants et l'impact environnemental des modes alimentaires liés à la consommation de produits issus de l'agriculture biologique ainsi qu'à caractériser le statut nutritionnel (vitamines et minéraux) et toxicologique (résidus de pesticides) de ceux qui ont choisi ce mode d'alimentation. Tout cela aidera à déterminer le niveau de risque ou de protection vis-à-vis de maladies chroniques (cancers, maladies cardio-vasculaires, obésité, diabète, etc.).
En pratique, les volontaires devront répondre à des questionnaires par Internet, simples, rapides, en toute sécurité et confidentialité. Les personnes déjà incluses dans l'étude NutriNet Santé ou qui le seront dans le futur, seront interrogées, en plus des questionnaires habituels posés via le site dédié, sur leur consommation ou non d'aliments bio (fréquence et quantité). De nouveaux questionnaires alimentaires, spécifiquement développés pour ce nouveau volet de l'étude, permettront de quantifier précisément la consommation de produits bio et de préciser la part relative des aliments issus de l'agriculture biologique dans le régime alimentaire global.
Perçus comme meilleurs pour la santé
Un protocole préliminaire réalisé dans le cadre de l'étude NutriNet Santé donne déjà une idée de la place du bio dans notre pays. Globalement, ces produits sont perçus par la population comme étant meilleurs pour la santé (69,9 %) et pour l'environnement (83,7 %). Mais 51 % des personnes qui répondent les trouvent trop chers. Actuellement, un tiers des Français n'en mangent pas. Les autres sont des consommateurs soit occasionnels (51 %) soit réguliers (14 %). Par rapport aux non-consommateurs, ils ont un niveau d'éducation plus élevé et sont plus actifs physiquement, mais ils n'ont pas de revenus supérieurs à la moyenne.
Pour entrer dans le détail, leurs choix alimentaires tendent plus vers des produits végétaux et peu raffinés. Ils mangent plus de fruits, de légumes, de légumes secs, de fruits à coque (noix, amandes, noisettes) et d'huiles végétales que les autres et moins de boissons sucrées ou alcoolisées, de charcuterie et de lait. Si leurs apports caloriques moyens journaliers sont identiques à ceux de la population générale, leurs apports en vitamines et en minéraux, en acides gras oméga-3 et en fibres sont plus élevés. Et ils sont moins guettés par le surpoids.
lepoint.fr
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